Quand le patron du plus gros réseau social cherche à « créer des espaces privés où les gens pourront partager des choses ou avoir des interactions qu’ils ne pourraient pas avoir ailleurs. » il faut être conscient que ce n’est qu’une illusion. Cette stratégie n’est qu’un nouveau moyen de permettre aux personnes de partager encore plus de leur vie privée.
Mais le paradoxe est que même si les adeptes des réseaux sociaux se savent « espionnés » et ont peur de dévoiler leur vie, il ne se dévoilent que plus car ces réseaux font maintenant partie du monde et qu’ils leur apportent suffisamment en échange.
Des études montrent que les internautes ne sont pas effrayés par les gouvernements ou les compagnies qui les espionnent mas bien par leur amis et collègues de travail. La stratégie de Facebook de créer des espaces de partage privé trouve alors maintenant tout son sens.
Pour conclure et reprendre une phrase entendue à la radio aujourd’hui, les médias sociaux ressemblent à l’Égypte ancienne : On écrit des choses sur les murs et on voue un culte aux chats.
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